On n’aime pas 10/02

10 février 2025

Les qu’en dira-t-on, rumeurs et autres dénigrements pas forcément fondés sur des acteurs économiques, savamment assénés au journaliste de passage. C’est que j’en entends, à longueur de semaine. Souvent entendu, dans le désordre : « Il.elle est alcoolique », « va tout droit vers la liquidation judiciaire », « traite très mal ses salariés », « La boîte de machin est à vendre, il n’a plus les ressources »… ; Sans oublier le très facile : « Il.elle est en burnout » (idéal, pour rabaisser quelqu’un, car ça ne veut rien dire). La ficelle est franchement grosse : l’émetteur du message espère que je vais le croire, sans vérifier, et compte ainsi influencer ainsi le traitement ultérieur de l’information.
Ces tentatives de désinformation, même réitérées, n’ont aucune prise. Tout simplement parce que je n’ai, comme la majorité de mes confrères, d’apriori sur personne, et que j’évalue une fois en situation. Ce qui ne m’empêche pas, cependant, de rencontrer des alcooliques, personnes en burnout et/ou traitant très mal leurs salariés, je vous rassure.