« Quand je suis arrivée à Montpellier, comme étudiante, ce qui m’a le plus surprise, ce sont les manifestations. Les urbains revendiquent, tout le temps ! Dans mes villages des Cévennes, il n’y a jamais de manifestation. Les gens y sont comme résignés. Leur état d’esprit, c’est un peu : ‘Ils peuvent faire ce qu’ils veulent en haut. De toutes les façons, nous, on fait bien ce qu’on veut, ici’. »
Amélie Cazalet, Agencehv, lors d’un échange informel avec Hubert Vialatte, le 3 juin. Ce qui a fait la connexion mentale avec l’action des collectivités, dont la Région Occitanie, au Vigan (Gard cévenol), à lire dans Les Echos, ici. Eh oui, tout se tient.