Zones de turbulence pour l’hydrogène 

17 février 2025

Le tarnais Safra, spécialiste de la mobilité hydrogène, placé en redressement (lire ci-contre) ; Airbus qui reporte son projet d’avion à hydrogène de 5 à 10 ans : l’hydrogène, présenté comme l’énergie propre de rupture et du futur, battrait-il de l’aile ?
Basé à Béziers (34), Genvia teste sa technologie d’électrolyseurs haute température pour la production d’hydrogène décarboné sur le site industriel d’ArcelorMittal de Saint-Chély-d’Apcher (48), avant de bâtir son éventuelle future gigafactory à Béziers (Les Indiscrétions du 12 novembre, en cliquant là). À Toulouse, la Région Occitanie injecte plus de 30 M€ (sur un investissement total de 45 M€) dans le futur technocampus hydrogène Occitanie*, avec l’objectif d’en faire « le plus grand centre européen de recherche, d’essai et d’innovation dédié à l’hydrogène vert », notamment pour décarboner les mobilités. La première tranche sera livrée début 2026.
* Réunissant sur un même lieu des chercheurs (laboratoires, CIRIMAT, Laplace, LGC) et des industriels. 

Share This