On n’aime pas 12/05

Le peu de cas qui est fait de l’impact du ralentissement économique sur les indépendants et petites entreprises. Le mot de « crise » n’est pas, ou très peu, employé par les élites politiques. Ce décalage est bien décrit dans le post de l’entrepreneuse parisienne Lucie-Eléonore Masini-Riveron, selon qui « les entreprises ont été plombées par la dissolution (juillet 2024) qui a figé le pays, par les guerres qui menacent, par le moral des ménages en chute libre… » Emmanuel Macron va répondre pendant 3 heures aux questions des Français, ce 13 mai au soir. Prenons les paris : combien de fois prononcera-t-il le mot « crise » ?