« On attend Midi Libre. » Cette phrase, je l’ai régulièrement entendue de la part d’organisateurs d’événement presse, depuis 25 ans, alors que l’heure prévue de début de l’événement a déjà bien sonné. Que des confrères soient en retard, ce n’est pas le sujet (et je ne vais pas donner de leçons sur ce point). Que l’organisateur souhaite une couverture médiatique par le quotidien régional historique, cela s’entend. Mais il n’est juste pas obligé de le dire. Car les confrères qui ont fait l’effort de venir à l’heure se trouvent en conséquence retardés. Parfois d’une demi-heure. C’est d’autant plus regrettable que, parfois, Midi Libre – comme d’autres médias, car les rédactions ne peuvent pas être partout – ne vient finalement pas. Question de l’été : entend-on « On attend La Dépêche » à Toulouse ?
On n’aime pas 15/07
15 juillet 2025